Le détecteur de mouvement, une fausse bonne idée !
Lorsqu'il est question d'éclairage public, le détecteur de mouvements reste un sujet récurrent
Censé prévenir les nuisances lumineuses et permettre des économies d'énergie, le détecteur reste un faux ami.
Le principe du détecteur de présence est simple, dès qu'un mouvement est détecté l'éclairage autonome se met en route. Cependant l'irrégularité d'éclairage met en péril la longévité de la batterie et ne permet pas non plus de garantir un éclairage performant. En effet, ainsi équipé le lampadaire solaire, ne dispose pas d'un programme prédéfini et ne peut donc pas prévoir et gérer sa consommation en fonction de la charge d'énergie obtenue durant la journée. Le candélabre photovoltaïque peut donc être privé de la charge d'énergie nécessaire et ne plus éclairer en plein milieu de la nuit. La durée de vie de la batterie quant à elle, peut être réduite de 50% du fait de ces fluctuations d'éclairage. De plus, l'extinction totale du lampadaire cause un problème inhérent de sécurité. En effet, le déclenchement du lampadaire n'ayant lieu que lorsque l'utilisateur est une distance réduite, celui-ci peut être pendant un laps de temps privé d'éclairage public, ce qui peut causer un sentiment d'insécurité et des difficultés de circulation.
La solution
Grâce à une programmation sur mesure parfaitement adaptée aux besoins d'éclairage, la batterie est préservée et l'éclairage est garanti 365 nuits par an. De plus, pour ce qui est de la pollution lumineuse, le lampadaire solaire peut fournir une luminosité minimum pendant les heures choisies. Il ne nuira donc pas aux habitants tout en assurant leur sécurité. En bref, le détecteur de mouvements :
- Réduis la durée de vie de la batterie
- Ne peut pas garantir un éclairage performant